Utilisation future des terres
Protéger l’environnement
D’ici la fin de l’année 2027, tous les bâtiments du site seront complètement démantelés, toutes les matières dangereuses seront traitées de façon appropriée et tous les terrains contaminés seront assainis jusqu’à ce qu’ils atteignent des niveaux sécuritaires. Afin de garantir la protection continue de l’environnement et des personnes susceptibles d’utiliser le territoire à l’avenir, les travaux de surveillance environnementale se poursuivront au cours des 100 prochaines années.
Les LNC nettoient le site en fonction de différents critères d’utilisation des sols. Voici les aspects jugés importants :
- Usage agricole ou traditionnel (sans restriction) – récoltes traditionnelles, cultures, élevage ou tout autre usage.
- Usage résidentiel – maisons ou maisons mobiles, etc.
- Usage industriel (sections restreintes) – secteur manufacturier, de l’assemblage, de la fabrication, de l’entreposage ou même hôtelier. Une petite partie de cette zone peut faire l’objet d’une utilisation restreinte et/ou d’un accès limité.
- Utilisation récréative – promenade, chasse, randonnée, ski ou autre activité récréative.
Une fois la restauration achevée, un territoire d’environ 10 800 acres ne sera pas affecté et seule une petite partie, moins de 1 % du site des anciens laboratoires, sera maintenue sous surveillance institutionnelle.
EACL est propriétaire du site de Whiteshell et le restera après l’achèvement des travaux des Laboratoires Nucléaires Canadiens. Les décisions finales sur l’utilisation future des zones du site de Whiteshell seront prises après de nouvelles discussions avec les communautés environnantes, les Premières Nations, les Métis de la rivière Rouge et d’autres parties prenantes; un grand nombre de ces discussions sont déjà en cours.
À vous la parole
Vous souhaitez en savoir davantage sur l’utilisation future des terres? Envoyez-nous un courriel à wlcommunications@cnl.ca et nous vous enverrons un exemplaire de notre projet de plan d’aménagement du territoire; les LNC sollicitent l’avis du public et des peuples autochtones.